« Ces deux approches (art de défense ou sport de combat) permettent la fortification du mental, l’éveil aux stratégies, l’apprentissage et l’usage de techniques, l’entretien physique, le tout développant le bien-être », estime le fondateur de cette discipline, qui s’est inspiré d’une quinzaine d’arts martiaux ou sports de combats (dont le Kickboxing, le Self-Défense, le Krav maga ou le Karaté) pour concevoir les techniques et le code moral du Pàijeda. Cet art de synthèse cultive en outre des valeurs éthiques (respect, bienveillance, courage, contrôle de soi, etc.), tout en étant le vecteur de la langue monégasque dont il intègre une cinquantaine de mots. Les diplômes de Pàijeda sont d’ailleurs décernés en langues monégasque, française et anglaise.